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Le samedi 4 mai, rejoignez-nous pour le Marché des Créateurs, organisé en collaboration avec Beauvechain en Fête ! Une journée placée sous le signe du talent local, de la créativité et de la convivialité.
Vous êtes artisan(e) et souhaitez vendre vos créations ? Il reste encore des places !
Salle des Échos, Chaussée de Tirlemont 17 à Jodoigne, ce jeudi 10 avril, à 19 h grande soirée entrepreneuriale
• Rencontre des entrepreneurs locaux inspirants et apprends de leur parcours ! • Pose tes questions et challenge-les sur leur expérience ! • Découvre de nouvelles opportunités et booste ton parcours vers la vie active !
Des détails sur nos invités arrivent bientôt ! Prépare-toi à t'inspirer d'entrepreneurs chevronnés et d'étudiants audacieux qui se lancent dans l'aventure de l'entrepreneuriat !
Comment participer ? Inscris-toi via le Forms et prépare-toi à vivre une soirée dynamique et enrichissante !
A la Renaissance, les astrologues ont été tenus en haute estime par les plus grands représentants du pouvoir temporel et spirituel, comme le montre leur présence constante dans les cours importantes.
Les seigneurs s'adressaient à ces "savants" ou "sages" presque quotidiennement, leur réclamant avec insistance horoscopes et prédictions sur les principaux moments de la vie de leur pays, par exemple l'issue d'une guerre ou l'aboutissement d'une alliance : ils avaient ainsi l'illusion de gouverner les évènements politiques et les phénomènes naturels en accord avec la volonté divine.
D'illustres savants comme Regiomontanus, Tycho Brahé, Galilée et Kepler, exercèrent aussi avec profit la profession de faiseurs d'horoscopes.
Illustration : Giovanni Bianchini, présenté par le duc Borso d'Este, offre les tables astrologiques à l'empereur Frédéric III, enluminure des Tabulae aestronomicae et canones, vers 1457, Ferrare, Biblioteca Ariostea.
Le 8 avril 1332, Philippe VI de Valois, roi de France, réunit la cour des pairs pour juger Robert d'Artois, qui prétendait avoir été dépossédé de son comté par sa tante Mathilde.
L'accusé est représenté par son blason (en bas à droite), entouré par ses avocats.
Le souverain est assis sur une sorte de faldistoire (siège liturgique des évêques), aux bras sculptés de têtes de lions et aux pieds en forme de pattes, recouvert d'un drap. Ses pieds reposent sur un tabouret en bois.
Les fils du roi et les barons, laïques et ecclésiastiques, sont assis sur des coffres, utilisés comme coffres et très répandus à l'époque. Les membres du parlement sont debout derrière un banc.
Durant tout le Moyen Âge, les meubles avaient un caractère très provisoire : un faldistoire dans une salle permettait d'administrer la justice, après quoi on installait la table et on préparait le banquet.
Le Procès, extrait du registre du procès de Robert d'Artois, 1336, Paris BnF.