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  • UN DES PLUS ANCIENS JEUX DE CARTES

    Le piquet de Charles VII

    Nous avons découvert sur le net ce jeu de cartes auquel jouaient nos grands parents.

    En voici une description rapide qui nous ramène à Lyon, au premier quart du XVIe siècle

    Découvert à Lyon, ce jeu a longtemps été considéré comme le plus ancien jeu de cartes numérales à enseignes françaises (pique, coeur, carreau, trèfle). D'abord daté du règne de Charles VII (1429-1461), il prit l'appellation de "piquet de Charles VII".

    Les cartes datent probablement des premières années du XVIe siècle, comme le laissent penser les costumes, caractéristiques des règnes de Charles VIII (1483-1498) et de Louis XII. La coiffe et la parure de la reine de trèfle rappellent ainsi fortement les portraits enluminés d'Anne de Bretagne, épouse de ces deux rois.
    Chaque figure de ce jeu est accompagnée d'une légende. Les noms donnés aux rois relèvent de l'idéal chevaleresque : Rolan pour le valet de trèfle, le neveu de Charlemagne Coursube, pour le roi de carreau ; Hector de Troie pour le valet de pique ; Apollin pour le roi de Pique. Les dames, quant à elles, affichent des sentences qui rappellent les récits allégoriques en vogue à la fin du Moyen Âge : tromperie, pour la dame de trèfle, en toy te fie, pour la dame de carreau, la foy est perdu, pour la dame de coeur, beauté dort pour la dame de pique.
    Illustration : Fragment de planche comprenant les rois et dames de trèfle, carreau, pique et coeur.
  • DRINK DES CHANTEURS A BIEZ

     
     
    Ce jeudi 4 janvier, "A l'Unisson" vous donne rendez-vous à la  Maison de Quartier : rue du beau site 32, 1390 Biez, pour  le grand  drink des chanteurs qui donne l’opportunité aux passionnés de la voix de chanter devant un public dans une ambiance bienveillante.
    Cette soirée est ouverte à tous et l'accès est gratuit dès 18h30.
     
    Les chanteurs seront accompagnés au piano ou à la guitare par Jonathan Neefs.
    Envoyez votre titre a jonathan.neefs@gmail.com
    Adresse : Maison de Quartier : rue du beau site 32, 1390 Biez
    Un bar à boissons et une petite restauration seront à votre disposition.
    Pas de Bancontact 

  • COMPRENDRE LES ENJEUX CLIMATIQUES A BIEZ

  • DON DU SANG A BEAUVECHAIN

    Les prochaines collectes de sang mises sur pied par la Croix-Rouge de Belgique à Beauvechain auront lieu le mardi 2janvier 2024  https://www.donneurdesang.be/.../inscription/IVBVC/1135540
    Une bonne action et/ou une bonne résolution pour commencer 2024 en beauté ? 
    Et si vous veniez donner votre sang?
    En 30 minutes, vous pouvez sauver jusqu'à 3 vies
     
     

  • LES ORIGINES DE LA BÛCHE DE NOËL

    L' origine de la bûche
    Avant l'expansion du christianisme, les cultes polythéistes (fête de Yule dans les pays scandinaves, Cacho fio en Provence) brûlaient pendant plusieurs jours un tronc d'arbre en guise d'offrande aux dieux afin de garantir une bonne récolte pour l'année à venir.
    Depuis plusieurs siècles, en effet, on a pour habitude, lors de la veillée de Noël, de faire brûler dans l'âtre une très grosse bûche, qui doit se consumer très lentement, l'idéal étant qu'elle puisse durer pendant les douze jours du cycle (jusqu'au nouvel an) ou au moins pendant trois jours. La bûche doit provenir, de préférence, d'un tronc d'arbre fruitier dans le sud (prunier, cerisier et olivier) censé garantir une bonne récolte pour l'année suivante, mais aussi chêne et hêtre dans le nord puisque les glands comme les faînes étaient une nourriture pour les hommes jusqu'à la fin du Moyen Âge. Lors de l'allumage, la bûche est bénie à l'aide d'une branche de buis, ou de laurier, conservée depuis la fête des Rameaux. Lors de sa combustion, la bûche est, dans certaines régions, arrosée de vin afin d'assurer une bonne vendange, ou de sel pour se protéger des sorcières. On conserve souvent ses tisons afin de préserver la maison de la foudre ou du diable[5] et les cendres sont répandues dans les champs pour fertiliser la terre. On conservait aussi toute l'année du charbon qu'on faisait entrer dans la composition de plusieurs remèdes. Allumée avec des tisons de la précédente bûche de Noël ou de la Saint-Jean passée, ses cendres servaient de protection (et autres croyances populaires) à toute la maisonnée jusqu’à l’année suivante.
    La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial. La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n’était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison le rendent plus utile que jamais. Cette tradition est encore respectée dans certaines familles et divers villages en Provence.
    « Cachafio, Bouto Fio ».
    On dit en provençal : « Cache le feu (ancien), allume le feu (nouveau) ; Dieu nous comble d'allégresse ». Le plus ancien de la famille arrose alors le bois, soit de lait, soit de miel, en mémoire des délices d'Éden, soit de vin, en souvenir de la vigne cultivée par Noé, lors de la rénovation du monde. À Marseille, et dans toute la Provence, en portant la bûche de Noël, on répète trois fois : « Noël vient, tout bien vient ». Ensuite le chef de la famille, ou, en son absence, le plus âgé, s'avançant vers la bûche pour la bénir, y verse du vin en invoquant la Sainte-Trinité, en disant : « Au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit, Amen ! », et il y met le feu. En Bourgogne, le père de famille ordonnait à un enfant d'aller en quelque coin de la pièce prier Dieu que la souche « donne des bonbons ». Pendant ce temps-là on mettait au bas de chaque bout de la bûche des petits paquets de sucreries, fruits confits, noix que les enfants venaient recueillir en croyant de bonne foi que la souche les avait donnés. Les sucreries étaient dissimulées dans un trou du tronc de la bûche, fermé par un bouchon ou dans un coin sous la bûche. Le vigneron qui n'avait pas de quoi offrir des sucreries aux enfants mettait dessous des pruneaux et des marrons. En Berry, les forces réunies de plusieurs hommes sont nécessaires pour apporter et mettre en place la cosse de Nau, car c’est ordinairement un énorme tronc d’arbre destiné à alimenter la cheminée pendant les trois jours que dure la fête de Noël. La cosse de Nau doit, autant que possible, provenir d’un chêne vierge de tout élagage et qui aura été abattu à minuit. En Normandie : « À l’instant où l’on y met le feu, les petits enfants vont prier dans un coin de l’habitation, afin, leur dit-on, que la souche leur fasse des présents et, tandis qu’ils prient, on met à chaque bout de cette souche des paquets d’épices, de dragées et de fruits confits ! »
    Les différents noms de la bûche de Noël
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    On appelait cette énorme souche de mille manières suivant les régions et les dialectes : son nom courant était tréfeu, tréfouet du latin tres foci, « trois feux », car elle devait brûler trois jours durant. Le gâteau en forme de bûche de Noël portait encore parfois au début du xxe siècle le nom de « coquille » ou petite bûche, en patois, le cogneù. En Normandie, souque ou chuquet. Elle s'appelle tronche dans la Bresse. En Bourguignon, ou suche ou gobe de Noël. En Berry, elle s’appelle « cosse de Nau » ; cosse signifiant « souche », et Nau signifiant « Noël », en Breton kef nedeleck, dans les Vosges galenche de Noë ; et encore Coque de Noël (Champagne), Choque en Picard). En Argonne, Lorraine, hoche, oche, hoque, toc, mouchon (Angoumois) suivant les communes. En Provençal la bûche du feu portait le nom de chalendon ou calegneaou, cacha fuec, cacha fuòc, calendau, et autres noms suivant les régions, Soc de Nadal (en Languedoc), traditionnellement le bois d'un arbre fruitier. En Limousin, Còssa de Nadau, Sucha de Nadau, Tison de Nadau. Elle porte également le nom de bocque dans les Ardennes, de cachefioc dans le Roussillon et de capsau en Aquitain.
    En Catalogne, on parle de la tradition du Tió de Nadal.
    Du gâteau de Noël à la bûche
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    Le nom ancien du gâteau semble plutôt dérivé du mot cognée que du mot bûche sans que cette étymologie soit vraiment certaine. En Belgique, dans la nuit de Noël, les mères déposent sur le chevet du lit de leurs enfants un gâteau nommé cougnou ou coignole. C'est une pièce de pâtisserie oblongue creusée dans sa partie supérieure et moyenne, afin de recevoir ou contenir un petit enfant Jésus en plâtre, ou en sucre. Dans quelques parties de la Lorraine, de semblables gâteaux se nomment cognés. Enfin, presque chaque province de la France a ses gâteaux de Noël qu'elle désigne par des noms différents plus ou moins bizarres. Ces « gâteaux de Noël » étaient d'un genre différent.
    L'invention de la bûche remonte au xixe siècle, sans que personne sache vraiment qui en a la paternité, les sources multiples se contredisant. Certaines évoquent sa création vers 1834 par un apprenti pâtissier de Saint-Germain-des-Prés. D’autres estiment que la bûche de Noël est née à Lyon dans les années 1860 dans la cuisine du chocolatier Félix Bonnat. Une autre piste mène à Pierre Lacam, ancien glacier du prince Charles III de Monaco, qui l’aurait conçue en 1898.
    Toujours est-il que la bûche en tant que pâtisserie n’a commencé à se populariser qu’après la Libération, dans les années 1945-1950 
    (extrait FB)
     
     

  • LA CHAPELLE DU PERREBOS A BEAUVECHAIN

    Connaissez-vous la chapelle du Perrebos ? Dédiée à Notre-Dame de la Médaille miraculeuse, elle se situe aux confins de « La Misère », sur la frontière linguistique, à un peu plus de 2 km de Opvelp.
    Bâtie en 1987 et sans doute consacrée lors d’une première messe le 15 août de cette même année, cette chapelle sur laquelle est apposée une plaque commémorative rappelant le décès du Doyen Englebert reste relativement mystérieuse.
    Il semble pourtant que des offices s’y soient encore déroulés à l’entame des années 2000. Elle a la particularité de porter des inscriptions à chaque fois bilingues (Nl-Fr) et d’être accompagnée d’un chemin de croix dont chaque station est abritée dans un caisson métallique.
    Un groupe de bénévoles souhaiterait procéder à sa restauration mais vos bons souvenirs viendraient nous éclairer sur cet édicule aussi singulier qu’isolé.
    (texte et photo M.Bertrand) 

  • RITUEL CREATIF A JAUCHE

    L’atelier ma vision personnelle pour 2024 » ce 30 décembre à 14 h
    Remercier 2023, et oser son 2024 en créant son tableau de vision, son tableau des rêves.
    Cela fait plusieurs années que je propose ce moment « atelier » fin d’année, le tableau de vision, un outil puissant pour inviter la manifestation.
    Des collages, des mots, représentant nos rêves, nos objectifs, les nouveaux possibles pour 2024.
    « Un moyen puissant pour activer la loi d’attraction, et, attirer à Soi les ressources et les opportunités qui feront de nos rêves, réalité dans la matière, avec en plus la puissance du groupe.
    C’est MAGIQUE ! 
     
    Deux ateliers, un l’après-midi, l’autre le soir.
    L’un de 14.00 à 17.00 , l’atelier du soir COMPLET de 18.30 à 22.00 (auberge espagnole)
    Possibilité de suivre l’atelier par zoom.
    P.A.F. : 35 euros (matériel, grignotages, boissons compris)
    Atelier zoom 20 euros.
    Infos & inscriptions: 0491/22.35.38, mp ou hello@naelle.pro ou encore via mon site www.naelle.pro
    BE 53-103019 6119-53
    communication atelier vision+ ton prénom et nom ou liquide le jour même.
    Le nombre de places étant limité, ton annulation sera due, si elle est communiquée moins de 24.00 avant l’atelier.
    Tu peux évidemment offrir ta place à quelqu’un d’autre.
    Au plaisir de créer avec toi,

  • GENEATICA REVIENT A WAVRE